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WÌCKED MIND

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Il était une fois, en Amérique...

ARIZONA, 1864. Cela fait plus de trois siècles que les terres d'Amérique ont été découvertes. Depuis, ce territoire de richesses insoupçonnables est occupé par les occidentaux, généralement originaires d'Europe, de l'Ancien Monde. Ceux-ci s'approprient tout et à n'importe quel prix. Même celui de voler par la force ce qui ne leur appartient pas. Car d'autres vivent sur ces terres et doivent se plier aux règles et croyances des nouveaux arrivants. Commence alors une impitoyable rivalité entre indiens et occidentaux. Mais peu à peu, les tribus d'Amérique faiblissent et sont de moins en moins nombreuses. Sans parler d'autres guerres parmi les clans. De leur côtés, les nouveaux habitants du Nouveau Monde acquièrent de plus en plus de terre. Mais un jour, afin de coloniser plus rapidement les terres, des hommes menèrent des organisations visant un seul but : exterminer les tribus indiennes. Selon eux, voilà le seul moyen pour gagner des terres. Face à cette nouvelle, les indiens ont redoublé d'efforts pour garder ce qui leur est droit. Mais pas seulement eux. À la surprise de tous, d'autres se sont soulevés, manifestant leur colère. Des blancs se rebellant contre les leurs. La Résistance s'organise peu à peu. Mais vous, qui serez-vous ? De quel côté prendrez-vous parti ? Celui des indiens et de la Résistance ? Ou bien au contraire, celui des occidentaux ? Ou bien alors, un étranger, un hors-la-loi, un indien banni, un simple citoyen spectateur des jeux mais apportant son petit grain de sel dans l'histoire ? La suite, c'est à vous de l'écrire, à vous de nous raconter cette fabuleuse histoire... Celle de Wicked Mind

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« Décembre 2012 : Les Wraiths ont localisé la cité d’Atlantis et lancent une offensive contre elle. Dans la cité, la résistance s’organise. Un premier assaut est repoussé mais le répit risque n’être que de courte durée…C’est alors que des renforts venant de la Terre arrivent par la Porte. Lors du second assaut, la position des terriens devient vraiment critique. C’est au dernier moment, alors que la cité va être détruite, que le major Sheppard propose un plan osé : simuler la disparition de la cité faisant exploser une ogive juste au-dessus, tout en activant le bouclier et l’occulteur. Les Wraiths, pensant la cité détruite, repartiront. Mise en application par Mc Kay, cette idée fonctionne à merveille, les Wraiths croient avoir anéantie Atlantis, et quittent l’orbite de la planète. Les Terriens sont soulagés d’avoir finalement « remporté » cette bataille, mais ils se retrouvent désormais dans une cité ravagée par l’attaque, avec de nombreux morts et blessés. Mais surtout, ils ont désormais pleinement conscience du danger Wraith, non seulement pour eux, mais aussi pour la Terre. Malgré les difficultés, la résistance doit s’organiser… »

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« OUAT SAISON 2. Notre monde est relié au monde des contes par un portail magique permettant aux personnages de contes restés dans leur monde de venir dans le notre. Une occasion en or pour les méchants d'avoir enfin leur propre fin heureuse. »

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« Voici maintenant un an que nous vivons à Forks. Pourquoi cette petite ville perdue me direz-vous ? C’est très simple, le temps y est propice à notre intégration ; après tout, nous sommes des vampires. Nous ne sommes pas la première famille, ou clan selon les points de vue, à s’installer dans cette petite ville. Nous ne sommes pas non plus les seules créatures extraordinaires de la région. Pour faire simple, nous cohabitons plus ou moins pacifiquement avec des modificateurs loups, issus d’une vieille tribu indienne… les qu… quelque chose… Ah oui voilà ! Les Quileute. Et nous occupons la maison d’une famille célèbre dans le monde vampirique pour avoir tenu tête aux Volturi, les Cullen. Ces derniers ont quitté Forks depuis longtemps pour le Canada, ils habitent à proximité d’un autre clan végétarien. Une jolie invention qui sème un peu la discorde dans notre famille. Nous ne sommes pas tous d’accord sur le régime à adopter, alors nous nous accommodons des habitudes de chacun tant que cela ne met pas en péril la sécurité de tous. Nous sommes les Mitchell, et nous aspirons à une vie paisible. »

Extrait du journal de Svetlana Mitchell, du 23/03/2037


« Deux ans à présent que nous sommes dans ce trou paumé. Certes la vie y est paisible, mais aussi très ennuyeuses. J’aime notre famille, et notre mode de vie. Mais un peu d’action ne serait pas mal. Cela me ferait plaisir de tomber amoureuse d’un humain, comme cet Edward Cullen. D’ailleurs, c’est assez énervant de voir cette hybride couler le parfait bonheur avec ce modificateur… J’aimerais avoir cette chance. Rencontrer une personne pour passer l’éternité à ses côtés, trouver le bonheur parfait et pur. Seul point positif à l’horizon : des rumeurs. Certaines rumeurs concernant Forks, les modificateurs et les Cullen. Mon frère est inquiet. Il pense à écrire aux Cullen pour les prévenir de ce qui risque d’arriver. Je ne sais pas ce qu’il espère. Mais il pense que nous sommes en danger, car nous habitons à leur place, nous vivons la vie qui était la leur il y a trente deux ans si ma mémoire est bonne. Et elle l’est croyez-moi ! »

Extrait du journal de Svetlana Mitchell, du 23/03/2038


« Voilà six mois que ces rumeurs ont commencé, et le danger rôde autour de Forks. On entend parler de disparitions, de combats de bêtes acharnés et dévastateurs. Pour les humains, il ne s’agit que d’animaux sauvages défendant leur territoire. Mais nous savons ce qu’il en est… La tension est palpable autour de nous. Nous avons reçu une réponse des Cullen, ils arrivent pour enquêter mais on peut sentir à leur réponse que la méfiance à notre égard est bien présente. Mon frère regrette son geste, il a peur pour notre sécurité, notre famille… Une guerre se prépare. C’est l’impression que cela donne. Finalement, je regrette la petite vie paisible que nous avions en ce début d’année. Je regrette mes souhaits d’aventures et d’imprévus. Tout le monde est nerveux. Et puis pour couronner le tout, mon frère a senti la présence d’autres créatures dans les environs. Pas des vampires ni des Quileute. Que faire de cette information ? Mon frère n’est pas le meilleur limier de la terre, et il est un peu parano par moment inventant des êtres surnaturels. Nous avons ordre d’éviter les modificateurs pour le moment, et d’attendre l’arrivée des Cullen en nous tenant prêt. J’espère que nous n’allons pas nous retrouver au milieu d’un règlement de comptes entre Volturi, Cullen et Quileute.

J’ai peur, et je suis inquiète pour ma famille et mon avenir ! »

Extrait du journal de Svetlana Mitchell, du 19/09/2038


Contexte forum Twilight flashforward (c)
Contexte écrit par Baian

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« « Enclenchez la parade » ; « Mise en route du ravitaillement en eau de la partie Est » ; « Faites-moi tomber un peu de pluie à ce mariage » ; « Enclencher le diffuseur d’hormones...»; « Lâcher les monstres, que la partie commence... »

Bienvenue à ReedWoods, Trois chaines cryptées sur la bande passante, une grande place autour d’un grand lac dominant les terres qu’ont choisies ses habitants pour construire leur maison, une petite épicerie de quartier, un bowling pour se divertir, tout semble parfait dans ce village perdu au milieu de la forêt et des collines hérissées par les pics enneigé de l’état de Washington. Une parade est organisée pour célébrer l’été, le bar du coin organise des concours de fléchettes, et de temps en temps les habitués arrangent un pot d'accueil pour les nouveaux habitants, souvent bien arrosé. Mais ce que ne savent pas ses habitants c’est que sous les magasins, sous leurs routes, même sous l’auberge de jeunesse en périphérie du village, se trouve une organisation, la même qui ravitaille, soigne, et fournis en toute nécessité la ville entière : Freedom Corporation. Une organisation surdéveloppée qui a mis au point une technique pour cacher et calmer les dieux qui nous entourent. Chaque année ils organisent une séance de massacre : Ils choisissent 5 personnes pour se présenter dans un lieu encore plus renfermé que la ville, en tant que sacrifice, de là est née la cabane dans les bois... »

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« La mafia était une organisation grandiose, la tête dirigeante était forte. Il avait imaginé un plan tout à fait diabolique. Eh oui, il avait fait en sorte que les gangs de rue s’entretuent en pensant que l’autre gang était coupable d’avoir tué les leurs. Ils ont ainsi éliminé tous ces petits écervelés qui ne servaient à rien. Maintenant, ils avaient le contrôle des commerces, dont ils assuraient la protection, le contrôle de la drogue et des prostituées de Philadelphie. Ils avaient également mis la main sur plusieurs gros contrats de la ville. Eh oui, car ils possédaient des compagnies de constructions, d’architecture, de décoration… ils avaient la bosse des affaires. Ils étaient partout et le plan du maire n’allait rien y changer. Il augmentait les effectifs de la ville? Parfait, il y aurait plus de monde à corrompre. Tous ces petits flics avaient des points faibles, ils arriveraient bien à les trouver et à en tirer parti… »

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« L’année 2012 tire à sa fin. Selon le calendrier Maya, la dernière journée de l’humanité serait le 21 décembre 2012. Cependant, tout le monde sait que cela n’arrivera pas. Les mythes et légendes reliés à la vie humaine ne sont que de la fiction. Ce qu’ils ne savent pas, c’est que la majorité des mythes surnaturels existent. Non seulement ils existent, mais eux autres même ont leurs croyances. Le prochain vendredi 13 se trouve au mois de septembre 2013. Un alignement des planètes est censé se passer. Non seulement cela aurait un effet sur le climat de la planète, mais il y a aussi une légende. Apparemment, avec cet alignement, les vampires de Transylvanie, les anciens, pourrait enfin trouver le moyen de sortir le jour. La malédiction du soleil ne serait plus. Des chasseurs ont tentés pendant la dernière année d’anéantir les vampires anciens qui auraient accès à ce rituel, mais sans succès. Arrivé à la date, même avec l’aide des sorcières, le mal est arrivé. Le sortilège a eu lieu et à partir de maintenant, les vampires se promènent parmi les humains durant le jour.
Les Alpes Scandinaves ont toujours été très populaire pour les vampires. Les montagnes les aident avec le soleil, car plus ils sont nouveau-né, plus ils ont de la misère à sortir le jour. C’est un climat dont ils doivent s’habituer. Les anciens de la Transylvanie pensaient pouvoir vivre dans la paix enfin après avoir exterminé la famille de chasseurs. Par contre, ce qu’ils ne savaient pas, c’est qu’ils n’étaient pas LA famille dont tous les mythes parlent. Ce n’était qu’une diversion pendant qu’en Italie, la famille se reconstituait. Une visite inattendue arrive dans les pays nordiques.
Comment ce finira cet histoire? En paix et harmonie comme les anciens le veuillent ou en bain de sang, car les chasseurs ne peuvent pas accepter l’existence de ces créatures de la nuit ayant maintenant accès à la lumière du jour? »

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« Cette rue. Toujours cette putain de rue. Je ne sais même plus combien de fois je l’ai empruntée. Des dizaines, peut-être bien des centaines. Je m’étais promis de ne plus jamais me tordre la cheville en talons sur ces trottoirs, promis de ne plus jamais avoir à emprunter le tournant sombre après la maison des Spencer. J’ai vomis sur leur perron après le bal de promo. Je sortais avec leur fils à l’époque, nous étions les rois du campus. Les rois du monde. Et le monde, il se résumait à Caswell. Du phare aux falaises, des vieilles baraques austères au centre-ville. Oui, je m’étais promis de ne plus jamais foutre les pieds dans cet endroit de malheur. J’ai toujours voulu partir. Comme si quelque chose en moi rejetais la simple idée d’y finir mes jours. Ici tout le monde connait tout le monde, comme si la ville avait sa conscience propre. Peut-être est-ce l’isolement, peut-être est-ce autre-chose. Ici le microcosme vous enlise au nom du collectif et du paraitre. J’en ai fait des fêtes de voisins cachée sous une table pour mieux entendre les ragots. J’ai ravalé mon dégout de ces visages faussement pieux le dimanche matin. A Caswell on y rentre comme on en sort, par les grandes routes isolées. Et on espère bien ne jamais se retourner. Et pourtant me voilà de nouveau plantée devant la maison où j’ai grandis. Elle n’a pas changé. Oh la façade à un peu subit le temps et le lierre en a profité pour s’étendre. Il y a toujours des cordes de balançoire qui pendent misérablement d’une branche basse. Mon père s’était donné un mal fou pour l’y accrocher. Je vois les fantômes du passé surgir, des objets absents que je pourrais presque toucher. Caswell est restée la même et pourtant elle est comme ces liens usés qui s’agitent au vent. De son orgueilleuse richesse passée il ne reste plus rien. Plus rien que des bâtiments abandonnés, des tessons de bouteille sur la chaussée. Il est bien loin le temps de l’insouciance. Bien loin le temps prospère où le coin attirait les promoteurs et les regards. Mes voisins eux, sont toujours là. Alicia n’a pas eus la chance de pouvoir partir. De ce que j’en sais elle travaille comme serveuse dans un bar sur les docks. Elle ne m’a même pas fait de signe de la main. Pas même au nom de notre ancienne amitié. Elle qui souriait à s’en décrocher la mâchoire. Cet endroit a changé, mais plus encore, il vous change. Une sensation dans les tripes, l’impression de ne pas être à ma place au bercail. Peut-être que pour eux je suis maintenant l’égale de ces étrangers qui affluent à la saison touristique. Et pourtant l’hypocrisie fait rage alors que la nouvelle de mon retour à fait le tour de toutes les oreilles. Ces enfoirés du conseil de la ville ont décidés dès mon arrivée d’organiser un vin d’honneur en souvenir de leur ancienne championne junior de volley. C’est comme si les années où j’ai construit ma vie ailleurs n’existaient pas. Comme si des frontières invisibles stoppaient le temps de ce petit patelin du Maine. Je m’étais promis de ne jamais revenir. Mais quand on nait à Caswell, qu’on le veuille ou non, on y retourne toujours. »

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« Jusqu’à preuve du contraire ce sont les grands qui détruisent la Terre et non pas les petits » Si seulement Luc Besson savait à quel point il peut avoir raison. Quel Homme est réellement capable de connaitre ce qui se passe sous ses pieds ? Aucun. L’écosystème… vaste phénomène dont certains recoins restent encore inexplorés. Et ça, les microgus le savent bien. Mais qui sont-ils ? Que sont-ils ? Ne sortant que la nuit, ils vivent comme des Hommes, se nourrissent comme des Hommes, ressemblent en tout point à des Hommes… si ce n’est leur taille ! Petits, minuscules, microscopiques, chétifs. Les termes sont nombreux et variés mais tous veulent dire la même chose : de taille non conventionnelle. Dix centimètres, dix minuscules centimètres ! A l’image des minimoys de Luc Besson, les microgus, eux, existent vraiment. Sous vos planchers, dans vos pelouses, ils empruntent vos objets les plus petits et les détournent. Vos dés à coudre deviennent leurs chaises, vos coupelles de tasse leurs lits. Mais ils fabriquent aussi. Fourchettes, tables, voitures, tout est conçu à leur taille. Ils vivent leurs vies aux pieds des Hommes, bien tranquilles. Mais il ne fallut qu'un pas, pour qu’un jeune garçon du nom d’Archibald Montgomery rencontre un microgus. C’était la veille de noël, en 2011, au beau milieu de Little Rock, dans l’Arkansas.

La maison était endormie, paisible et calme. Archibald ne dormait pourtant que d’une oreille. Du haut de ses cinq ans, il savait que le père noël passait ce soir, et l’idéal pour lui serait de voir cet homme vêtu de rouge et blanc lui apportant les cadeaux qu’il souhaite pour ensuite entendre son célèbre : oh oh oh, joyeux noël ! Evidemment comme tous les enfants, Archibald tentait d’amadouer l’homme à la longue barbe blanche avec de délicieux cookies, mais cela serait-il suffisant ? Descendant les marches de l’escalier de bois, il avait cru entendre les clochettes du traineau. L’espoir emplissait son cœur, augmentant son rythme cardiaque. Mais Archibald ne tombait pas nez à nez avec le père noël ce soir-là. Observant entre les barreaux de l’escalier, il regardait la scène sans un bruit. Un homme d’une minuscule taille, avec un ami, tentait de trainer les cookies laissés au pied du sapin. Une pépite du gâteau sous le bras, on aurait pu croire que pour lui, elle avait la taille d’un ballon de handball. Etonnant, tout simplement étonnant. Bien vite ces derniers disparaissaient alors avec le butin dans un trou bien caché sous le tapis du salon.


Ce soir-là, le jeune Archibald cru faire un rêve dont il était persuadé de sa véracité. Bien évidemment, le lendemain matin, il s’était empressé de le dire à ses parents qui ne l’avaient pas cru, jusqu’à aller voir ce fameux trou sous le tapis du salon… et il était bien là. Persuadés de faire face à un trou d’une souris ou d’un rat, ils ne donnèrent pas suite à cela, expliquant à leur fils qu’il avait tout simplement rêvé à cause de l’excitation de noël. C’était donc la première fois qu’un humain voyait les microgus à l’œuvre depuis des années, cela se reproduirait-il un jour ? Serez-vous de ceux qui auront la chance de les apercevoir et pourquoi pas de leur parler ?

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« Arizona, 1860. Temps des ruées vers l'or, des exploitations de terres, d'acquisition de terres. Temps de la conquête de l'Ouest. Citoyens, hors-la-loi, indiens, étrangers, tous sont les protagonistes de cette histoire. Mais au cœur d'une région ravagée par les Occidentaux, une rivalité sans pitié est née entre ceux-ci et le clan Sioux, déjà présent avant l'arrivée des Européens... Tout peut encore se jouer. Enfourchez votre cheval et venez participer à l'aventure ! »