AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -45%
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre ...
Voir le deal
339 €

Partagez
 

 Viladra Memphis

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Auteur
Message
avatar

Invité
Invité





Viladra Memphis Empty
MessageSujet: Viladra Memphis   Viladra Memphis I_icon_minitimeJeu 14 Mar - 23:55



Viladra Memphis

Certains disent que les femmes passent leur temps à jacasser et à se comparer entre elles sur des critères de beauté illusoires. Quand je la rencontrai, elle différait grandement de ce stéréotype puéril et si elle n’était pas la plus amicale qui soit, je fus particulièrement étonnée de constater ce mélange de force d’esprit et de faiblesse de l’âme dans un seul corps. Silencieuse, elle fusillait du regard quiconque osait l’approcher de trop près, surtout s’il s’agissait d’un étranger, et se protégeait derrière ces expressions dures et menaçantes. Dans ce foyer londonien, alors qu’elle n’avait que dix-sept ans, je pris le temps de la connaître et de m’approprier sa confiance. Ce ne fut pas une mince affaire…

Cela remonte à cinq ans, peut-être plus, peut-être moins… Ma fin approche tandis que sa vie ne fait que commencer. Une existence courte, baignant dans le luxe et le pouvoir, et pourtant si dangereuse… Mais je me rappelle encore de cette toute première fois où mon regard se posa sur elle.
J’étais venu dans cet orphelinat dans le but de trouver un adolescent qui correspondrait aux critères recherchés par les loopers. Au final, ce fut avec une jeune fille que je repartis.
Elle était incroyablement silencieuse, discrète aussi. Pourtant, il s’agissait d’une personne plutôt attirante malgré le fait qu’elle ne se mette pas en valeur. Grande, élancée, dotée d’une fine musculature qui n’enlevait en rien la grâce animale qui se dégageait d’elle, Thrân, puisqu’il s’agissait de son nom d’origine, était pourtant du genre à dégager de l’antipathie. Sa longue chevelure d’ébène semblant l’entourer comme une armure de protection, ses yeux sombres et effilés rebutant d’un regard les plus audacieux qui cherchaient à lui parler, elle n’était pas agressive mais tout en elle clamait le désir de liberté et de solitude. Quand je m’adressai à elle la première fois, j’essuyai un renvoi sec et sans appel qui me fit douter de mon envie de la ramener avec moi. Plus tard enfin, je compris qu’il s’agissait là d’une simple enfant blessée qui utilisait sa morgue et son mépris comme ultimes barrières à l’accès de son âme. Un esprit déchiré et tourmenté qui n’attendait qu’une lueur pour retrouver un équilibre sain. Alors je lui offris ce qu’elle cherchait… Je lui donnai un nom, Viladra, je lui donnai aussi un savoir, une puissance, un moyen de se défendre et de vivre. Si elle ne changea pas entièrement, la jeune fille devint alors une femme et elle apprit à s’ouvrir aux autres, à se sociabiliser et à user avec finesse des roueries de la manipulation et de la flatterie.

Après nos années passées ensembles, Viladra devint une looper confirmée. Elle n’était pas la meilleure d’entre eux, à son jeune âge, il aurait été prétentieux de sa part de l’affirmer… Néanmoins, si elle ne possédait pas de dons particuliers comme cette pseudo-télékinésie dont certains parlent, Viladra possède toutes les capacités qui font d’elle une assassin redoutable. Tout d’abord, contrairement aux autres loopers, elle n’utilise son tromblon que pour les exécutions. En général, elle préfère user d’un pistolet simple équipé d’un silencieux et affirmera toujours qu’un travail sera toujours mieux conclu qu’avec une bonne lame en main. Favorisant l’agilité, la vivacité et la souplesse à la force brute, elle aime la nuit, joue des ombres et se fond dans l’obscurité avant de jaillir sur sa proie. La discrétion est un maître mot, chez elle. Le silence, l’anonymat, le mystère, aussi…
Le visage qu’elle affiche néanmoins aux autres est diamétralement opposé. Avenante, sereine, dotée d’une voix calme qui apaise les discussions houleuses, elle sait devenir une hôte agréable et entretenir des relations sans réelles difficultés. Agréable et possédant de la tenue, Viladra reste néanmoins quelqu’un de solitaire et elle compte le nombre de ses amis sur les doigts d’une main. D’une main peut-être incomplète, d’ailleurs. Qu’en est-il alors de ce qu’elle est véritablement ? De sa personnalité profonde ? Je ne puis vous répondre car vous savez, elle ne le sait sans doute pas elle-même…

Si je me rappelle bien, Viladra a toujours été quelqu’un de peu impressionnable de par son passé qui l’endurcit considérablement. Rares sont les loopers apeurés… Et pourtant, si elle aime la pluie et la fraicheur des gouttes sur son visage, l’orage la met dans un profond malaise qui l’empêche de se concentrer entièrement. Je n’ai jamais pu savoir d’où lui venait cette crainte subite mais j’ai depuis longtemps baissé les bras pour l’en guérir.
Dédaignant la drogue et ne buvant jamais au point d’en perdre ses capacités motrices ou mentales, elle s’adonne en revanche à un tabagisme constant. Si physiquement elle n’en ressent pas encore les séquelles puisqu’elle s’impose des entrainements quotidiens afin de maintenir sa forme physique, il n’est pas impossible que plus tard, ses capacités pulmonaires en prennent un coup. Sauf que vous savez, lorsque votre vie risque de se terminer dans une quinzaine d’années, il n’est pas anormal que vous vous adonniez à certains petits plaisirs. Ce n’est qu’en côtoyant la mort de près que l’on apprécie d’autant plus la vie…


La vie, c’est une suite d’individus qui vous demandent comment vous allez et à qui vous répondez oui, et ce, même lorsque vous êtes à l’agonie.

Je ne suis pas quelqu’un de défaitiste… J’aime aller au bout des choses, chercher à me dépasser et espérer qu’un jour, peut-être, je connaîtrais la vieillesse et le bonheur d’avoir eu une vie remplie et aux souvenirs inoubliables. Je ne jette pas la pierre au système des loopers qui voient leur boucle s’enclencher au bout d’un certain temps. Est-ce que je redoute un jour de tomber sur des lingots d’or, accrochés à mon propre dos ? Peut-être bien que oui. Pourtant, si je ne suis pas la plus malheureuse, la vie ne m’a pas gâté et je n’ai aucune raison véritablement valable d’avoir peur de mourir. Que vais-je perdre si ce n’est de l’argent sale, des amis aussi factices que les bijoux qu’ils abordent, ou bien cette ambiance de mensonges et d’hypocrisie ? Mais je ne me plains pas… Car de la misère et de la désillusion, j’ai pu connaître le luxe, l’importance des choses, les apparences véritables de certains. J’ai pu observer les visages du diable sous des masques de bienfaisance, j’ai pu voir la mort, mais aussi la vie. Et pourtant… Je suis si jeune, mais le poids des années qui passent pèse sur mes épaules.

Comment vois-je la vie, aujourd’hui ? Je ne sais quoi vous répondre. Elle me semble monotone, horriblement répétitive, et pourtant ponctuée d’évènements qui me causent ce frisson familier le long de ma colonne vertébrale.
Beaucoup des miens finissent par se complaire dans la mise à mort qui est pour eux l’unique accès à l’opulence. Je ne suis jamais tombée de ce côté-là… Et si ma main ne trembla jamais lorsque je dus ôter la vie de quelqu’un, je n’y pris aucun plaisir non plus. Certes, je connus pourtant la haine, l’appel du sang et la soif de vengeance, mais j’estime qu’il n’y eut aucun sadisme gratuit de ma part. Tout se doit d’être justifié… La colère comme l’amour. La vérité comme le mensonge. Alors comme puis-je vous exprimer mon ressenti ? Peut-être est-il tout simplement mitigé, indescriptible, ou terriblement simple. J’avance sans reculer, je prends parfois le temps de m’arrêter et d’observer. Je m’attache peu, c’est vrai, mais je fais aussi en sorte à ce que personne ne dépende de moi. Je suis rarement seule avec toutes ces soirées mondaines, ces gens de la haute qui vous envoient des cartons d’invitation parce que vos revenus affichent un nombre à six zéros au minimum. Pourtant, je considère que je suis souvent seul bien qu’entourée. On passe à vos côtés, on vous parle, on rit, tout proche, mais au final, il ne s’agit là que de personnes isolées qui tentent en vain de se rassurer dans la masse. Ne vous méprenez-pas, je ne suis pas associable pour autant et j’arrive à prendre plaisir à rencontrer quelqu’un que je trouve intéressant… Mais j’ai une mémoire sélective involontaire et dans ma vision de la vie, il faut savoir oublier le superflu pour ne s’attacher qu’à l’essentiel.

Alors pour conclure cette étrange réponse… Je dirais que la vie, c’est un grand livre dans lequel vous écrivez votre passé et votre présent. Malgré cette machine à remonter le temps, j’ai encore le fol espoir que le futur ne peut être écrit à l’avance. Je suis pourtant bien mal placée pour exprimer une telle hypothèse… Mais voyez-vous, je ne peux pas modifier mon passé et quand bien même on m’en donnerait l’occasion, je n’y ferai rien. En revanche… Si réparer les actions précédentes est un principe qui me répugne, je ne tolèrerai pas qu’une main inconnue vienne graver les lignes de mon destin.









this is the lie i have created.
Mon enfance est d’une banalité à pleurer à notre époque actuelle… Elle diffère peut-être par mes origines.
Je suis née au Vietnam, plus particulièrement dans la ville d’Hô Chi Minh. Certaines âmes révolutionnaires continuent encore de l’appeler Saigon mais pour ma part, quel que soit le nom, il ne s’agit que du lieu où je poussai mon premier cri.
Enfant sans doute non désirée, ma mère biologique ne put, ou ne voulut s’occuper de moi et j’atterris dans un orphelinat de la ville. A ce moment-là, malgré les crises économiques qui agitaient les grandes nations, il existait toujours de riches familles qui s’empressaient d’adopter lorsqu’il ne leur était pas permis d’enfanter. Ainsi, à moins d’un an, un jeune couple londonien arriva dans ce pays dépendant de la Chine et les signatures furent apposées en bas de la feuille. De Thrân, je devins Jessy Mclie. Un prénom horrible qui sonnait creux à mes oreilles…
Mon enfance baigna dans le luxe et la superficialité. Si madame Mclie m’adopta, ce ne fut pas à cause de problèmes de stérilité mais bien parce que son métier d’actrice ne lui permettait pas d’infliger le supplice de la grossesse à son corps de liane. Ainsi, ma petite enfance était aussi étincelante que les paillettes qui parsemaient ses vêtements et pourtant vide d’amour, de reconnaissance et de sincérité. Pourquoi vinrent-ils me chercher aussi loin ? Je n’eus jamais la réponse… Mais quand dans votre âme vous avez été abandonnée une fois, il est difficile de subir à nouveau cette même sensation. Encore plus lorsque le bonheur vous parait si proche et qu’il est pourtant tellement loin…

A mes dix ans, les relations avec monsieur et madame Mclie commençaient déjà à s’étioler. Colérique, impulsive, je faisais régulièrement des crises qui les poussaient à bout et les punitions pleuvaient sans m’atteindre. Les gouvernantes s’arrachant les cheveux de ne pas pouvoir arriver à m’éduquer correctement, je ne cessais de désobéir et de commettre le plus de bêtises que je pouvais dans le simple but de me faire remarquer. Evidemment, à cet âge-là, vous pensez que vous agissez ainsi par jeu, mais avec du recul, quelqu’un d’observateur aurait décelé un appel à l’aide. J’étais perdue dans un monde d’adultes. J’étais perdue au milieu d’inconnus qui ne cessaient de me harceler, au milieu de ces règles à apprendre et de ces codes de courtoisie que l’on m’imposait. Je n’étais tout simplement pas à ma place…
Deux ans après, alors que l’on m’offrait le meilleur collège des alentours, je commençais déjà à affirmer mon esprit solitaire. Dédaignant les robes de dentelles que l’on m’offrait, crachant sur ces accessoires ridicules que l’on voulait me mettre dans les cheveux, je jouais le garçon et rentrais sale et les genoux souvent écorchés. Je voyais bien à ce moment-là que monsieur et madame Mclie baissaient les bras… Mon échec scolaire, les heures de cours incomptables que je séchais, ces jeunes plus âgés et peu fréquentables avec qui je trainais, cet argent que je volais pour leur donner afin de nous acheter des cigarettes… Je commençais peu à peu à trouver ce que je cherchais : la dure réalité de la vie.

Quinze ans. Ce fut un épisode décisif dans ma vie… Monsieur Mclie perdit la vie dans un accident de route et, privée de sa richesse, madame ne tarda pas à sombrer sous les dettes et la pauvreté tandis que sa beauté se ternissait sous les verres d’alcool dans lesquels elle se noyait pour oublier sa peine. Pour ma part, j’avais déjà quitté la maison depuis longtemps. Vivant dans les rues en compagnie d’une bande de copains qui eux, logeaient dans un foyer spécial, je ne tardai pas à les rejoindre. Une nouvelle vie s’offrait à moi… Sauf qu’ils disparurent un à un, emportés par la maladie.
Nous n’avions pas les moyens de payer des frais médicaux et alors qu’un simple virus était relégué au rang de rigolade chez les riches, il s’agissait ici d’une véritable épidémie. Sauvée par de précédents vaccins que m’administrèrent les Mclie durant mon enfance, j’échappai à la pandémie et sur la cinquantaine de gosses qui vivaient dans cette immense baraques, nous ne fument plus que trente à nous en sortir. De notre groupe de six, seuls James et moi étions encore là, mais ce n’était plus la même chose…
Dans le quartier où nous vivions, la violence et la criminalité étaient monnaie courante. Il fallait se montrer impitoyable pour s’en sortir, encore plus lorsque l’on était une fille… Et à seize ans, si je n’étais pas encore femme, certains imbéciles ne se privaient pas pour montrer leur intérêt face à un corps jeune et en bonne santé. Il me fallut du temps avant d’accepter la vérité : vaincre ou mourir.

Le temps passa si vite que je sursautai quand l’homme m’hurla dessus pour que je l’écoute. Levant les yeux vers lui, le visage du policier se tordit brièvement en une grimace de frustration puis il se détourna pour laisser son collègue prendre la relève. Devant mes mains menottées posées sur la table, mon couteau à cran d’arrêt avait été soigneusement placé devant moi afin que je voie bien les récentes marques de sang qui maculaient la lame. Je ne comprenais pas, j’avais pourtant avoué de bonne grâce, pourquoi diable continuaient-ils alors de m’exploser les tympans avec leurs vociférations incessantes…
Puis tout s’enchaina rapidement. Un avocat donné par l’état, un procès, l’argument de la légitime défense balancé à tort et à travers… Et je me retrouvai avec du sursis, quelques mois de TIG et un casier judiciaire. Ce n’était pas grand-chose… Cela revenait même du miracle à ce que je l’ai aussi tard. Ainsi, je regagnai à nouveau mon train de vie, occupant seulement mes matinées à nettoyer les rues de Londres armé d’un pic à déchets et d’un sac plastique. Il n’y a pas à dire, je préférais mon couteau.

Les années qui suivirent furent longues et éreintantes mais je ne me sentis jamais autant en vie qu’à ce moment-là. Poussant mon corps à ses extrêmes limites, les dépassant parfois, on tentait aussi de mettre mon mental à l’épreuve et je sortis gagnante à chaque fois, là où mes capacités physiques me bloquaient. Je me perfectionnais dans l’art de l’assassinat, j’appris à savourer la douceur de la nuit, la magie des ombres… On me plaça toutes sortes d’armes entre les mains, du simple pistolet au fusil d’assaut. J’appris à viser des cibles minuscules au sniper, à viser juste quand je lançais une grenade, à planter mon couteau à l’endroit exact qu’il devait atteindre et à désarmer des adversaires plus imposants que moi. J’appris à plonger mon âme dans l’acier, à fusionner mon être avec ces objets de mort que je tenais entre mes mains décidées. Et enfin, je commençais le métier… Quel âge avais-je ? Je n’en étais même plus sure. Un peu plus de la vingtaine, sans doute…
La première mise à mort que j’effectuai lors d’un contrat fut d’une étonnante simplicité. Mon lieu d’exécution étant une arrière-cour abandonnée à l’écart du centre-ville, je vis tout simplement un homme apparaître, le visage masqué et les mains attachées. Alors quand mon tromblon vibra sous la déflagration, que le sang éclaboussa le linge autrefois immaculé, je compris qu’il était simple de tuer. Qu’il était simple de vivre aux dépends des autres… Et ce fut le début de la richesse.

On raconte que nous sommes pourchassés. Cela fait bien longtemps que je n’ai pas effectué de contrats… N’ayant pas dépensé mon argent dans des folies, j’ai de quoi prospérer avant un moment. Qui sont-ils pour décider que nous méritons de vivre ou non ? Et nous, qui sommes-nous pour porter un jugement sur l’existence de nos victimes ? Au final, la vie est bien ironique. Elle enfante pour que nous, ses créations, nous détruisions. Peut-être que la boucle des loopers n’est qu’une version à une échelle plus petite de ce qui se déroule dans le monde lui-même… Peut-être qu’au final, nous sommes tous condamnés. Une sentence pire que la mort qui nous plongera dans l’incertitude.


I'm here !
Enchantée, tout le monde ! Je m’appelle Maëlys, j’ai dix-huit ans et toutes mes dents… Etudiante en licence de géographie – peu passionnant, je n’en dirai pas plus sur ceci – je suis tombée ici tout à fait par hasard. Pour vous dire, je n’ai même pas vu le film « loopers » duquel provient le forum *aieaie pardonnez-moi !* Ce que j’aime ? A vrai dire, je n’ai pas envie de dire rien mais peu de choses me viennent en tête. Je fais du sport de combat, j’adore ça même si je n’ai pas le niveau de Jet li (dommage !), je ne suis pas du genre à sortir en boite et m’extasier devant des robes et du maquillage mais j’assume parfaitement ma féminité haha ! Heu sinon… Je suis quelqu’un de normal, du moins je le pense, je n’aime pas tellement les études mais je continue quand même (comme beaucoup d’étudiants en première année), je sors, je m’occupe, parfois je fais la larve toute l’après-midi dans mon lit avec mon PC, je fume, je bois, je ris, je pleure… Bref, je vis. Physiquement ? Rien de particulier, un mètre soixante-dix de feignantise, des cheveux noirs, des yeux noirs et bridés, une peau normale, des imperfections que l’on n’aime pas (surtout quand on est une fille) et d’autres que l’on accepte, bref… Je pense entrer dans la norme de la normalité. Enfin, je crois.

ft. VOTRE CÉLÉBRITÉ. (c) CRÉDIT DE LA BANNIÈRE.

Revenir en haut Aller en bas
Maggie A. Lincoln

Maggie A. Lincoln
♙ why do we fall ?
(admin)



→ Messages : 369


Viladra Memphis Empty
MessageSujet: Re: Viladra Memphis   Viladra Memphis I_icon_minitimeVen 15 Mar - 0:00

Bienvenue officiellement, alors Viladra Memphis 3234875536
Bon courage pour ta fiche, et comme dit sur la CB, si tu as la moindre question n'hésite pas Viladra Memphis 1931472354

J'adore ta célébrité, aussi, même si je la connaissais pas Viladra Memphis 4205929361 Hâte de voir ce que tu nous réserves Viladra Memphis 412401464

Viladra Memphis 3920004554 Viladra Memphis 2176505670
Revenir en haut Aller en bas
S. Iaël Blum

S. Iaël Blum
hunting the past



→ Messages : 40


Viladra Memphis Empty
MessageSujet: Re: Viladra Memphis   Viladra Memphis I_icon_minitimeVen 15 Mar - 11:50

Bienvenuuue Viladra Memphis 3314997836
Revenir en haut Aller en bas
Maggie A. Lincoln

Maggie A. Lincoln
♙ why do we fall ?
(admin)



→ Messages : 369


Viladra Memphis Empty
MessageSujet: Re: Viladra Memphis   Viladra Memphis I_icon_minitimeVen 15 Mar - 14:33

Je viens de finir de lire ta fiche, et je dois t'avouer que je l'ai littéralement dévorée Viladra Memphis 3967998059 J'ai juste été subjuguée par ta plume, et le personnage de Viladra est véritablement très intéressant, j'ai hâte de le voir évoluer en jeu Viladra Memphis 3428633828 Je te valide donc, sans l'ombre d'un doute Viladra Memphis 1931472354 Je vais te rajouter de ce pas aux bottins, et te mettre ton rang et ta couleur Viladra Memphis 3150622308 Ensuite, tu n'auras plus qu'à te faire des amis, et trouver des sujets Viladra Memphis 3920004554 Je te réserve déjà des petits liens, j'adore véritablement ta manière d'écrire et ton personnage Viladra Memphis 3234875536

Sur ce, je ne t'embête pas plus longtemps Viladra Memphis 3428633828 Bon jeu parmi nous, j'espère que tu t'amuseras bien Viladra Memphis 412401464

Viladra Memphis Tampon14
Revenir en haut Aller en bas
Zuriel

Zuriel
♜ i don't believe in fate



→ Messages : 287


Viladra Memphis Empty
MessageSujet: Re: Viladra Memphis   Viladra Memphis I_icon_minitimeVen 15 Mar - 15:00

Hé bah, c'est du service rapide, ça. Bienvenue parmi nous !
Oh, une géographe, même si tu ne trouves pas ça passionnant, c'est mignon. Viladra Memphis 3532638152
Revenir en haut Aller en bas
avatar

Invité
Invité





Viladra Memphis Empty
MessageSujet: Re: Viladra Memphis   Viladra Memphis I_icon_minitimeVen 15 Mar - 18:08

Merci beaucoup =D je me mets à rper avec vous dès ce week-end =)
Revenir en haut Aller en bas
R. Fox Lewis

R. Fox Lewis
♖ time is running out
(admin)



→ Messages : 148


Viladra Memphis Empty
MessageSujet: Re: Viladra Memphis   Viladra Memphis I_icon_minitimeVen 3 Mai - 9:21

Utilisateur supprimé, j'archive. I love you
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé





Viladra Memphis Empty
MessageSujet: Re: Viladra Memphis   Viladra Memphis I_icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Viladra Memphis

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Looper RPG :: corbeille hors-rp :: fiches de présentation-