Je suis né(e) le merveilleux 18 août 1984 à Londre motherf*cker, en Angleterre héhéhé ϟ j'ai donc vingt-huit ans ϟ j'exerce actuellement le métier de patron d'un bar bien sympa... du moins si tu sais être gentil ϟ ma situation sociale est j'me débrouille moyennement bien ϟ je suis de plus célibataire, et hétérosexuel ϟ par ailleurs, si vous voulez tout savoir ; “ They keep saying the right person will come along, I think mine got hit by a truck. ” ϟ pour vous donner une idée, il paraît qu'on pourrait m'associer à la chanson club foot, de Kasabian. (J'savais pas si je devais reprendre ce détail ou si je pouvais moi-même ajouter une autre association. Soit, j'ai joué le mouton xD.)

Oh, j'oubliais. Je fais actuellement partie du groupe des crime's children. Pour le meilleur et le pire.

Le propre de Devon, c’est qu’il ne semble pas posséder de personnalité et ou encore même une identité. Tantôt sociable, tantôt antisociale, à la fois drôle et extrêmement embarrassant avec son tact légendairement si peu soigné. Tout pèse constamment entre le positif et le négatif avec lui. On ne sait jamais comment le prendre, on ne sait jamais à qui on aura affaire. Tout est noir, tout est blanc, seulement, il n’y existe jamais de gris, jamais de juste milieu. Qu’il aime ou déteste quelque chose, ou quelqu’un, de façon plus que évidente, vous le saurez… osez douter, sans passer par quatre chemin, généralement avec ses poings, il vous le fera savoir. Vouloir vous coller à lui, franchement, il faudrait vraiment être désespéré et ou encore en danger de mort. Il aime la solitude, son petit cocon de sérénité plus que salvatrice. Se faire des amis, cela n’a jamais fait partit de ses priorités. Il peine à faire confiance aux gens, il peine à faire confiance point. Durant cinq longues années, Devon s’est livré, complètement dévoué corps et âme, à l’armée. Cela forge un caractère, je ne le vous fait pas dire. Par le biais de sa profession actuelle, - propriétaire d’un bar appartenant jadis à son défunt père -, Devon a les yeux consciencieusement ouverts sur le monde déliquescent qui l’entoure… côtoyer si souvent le mal, très vite, il nous arrivera de penser que celui-ci nous habite, longe notre échine et gruge chaque fibre de notre petit être. C’est ce que Devon pense. C’est ce que Devon ressent. Son respect, il ne se donne pas mais se gagne. Sa loyauté, elle ne se lègue pas mais se mérite. Il se contrefout des opinions des gens… cela allant jusqu’à une certaine limite que je vous conseille très fortement de ne jamais franchir. Fais pas chier, sinon, ça risque de faire mal. Delà s’éveille un grand et gigantesque sens moral. Parfois, il pourra agir sans penser aux conséquences, alors qu’à d’autres occasions il pourra méditer durant cent ans de vie avant d’oser vouloir lever le simple petit doigt. Il est contradictoire, difficile d’approche, il cogne pour parler et défonce des crânes pour faire comprendre qu’on n’a pas trop intérêt à le chercher. Le pire, c’est que sa grande gueule beugle aussi fort qu’il ne cogne… il a une très grande répartie et souvent il vient à franchir des extrêmes limites. Et malgré toutes ses complexités, à l’usure, il vous apparaîtra pour un homme bien simple et freaking zen. Il sait prendre la vie à légère et s’amuser. Si vous êtes sympas, il le sera. Si vous êtes drôles, il le sera aussi. Il jappe plus qu’il ne peut mordre… à la longue, vous allez comprendre. Il possède un charme et charisme évident. Il possède un charme et charisme agaçant. Cela allant dans les deux sens, vous pourrez faire de ce curieux numéro soit votre meilleur pote, ou, encore, votre pire ennemi…

→ te sens-tu en sécurité à Londres, ces derniers temps ?
HAHAHAHA ! Zhe question qui tue, j’adore ! Si Devon se sent en sécurité à Londres… Sérieusement, vous osez demander ça au type qui cache un shotgun en-dessous de son comptoir ?! Pire même, vous osez demander ça au mec qui peine à fermer l’œil la nuit et conserve à porter de main, soit sous son oreiller, son précieux glock 9mm ?! Pardon, vous dites ? Lui… paranoïaque ? Non. Nenon. Il est simplement lucide et trèèèèèssssss conscient de la merde que cette piètre société l’efforce de bouffer à pleine pelle. Monde de fous, ici-bas, cela a toujours été le cas… et pour répondre clairement à la question : foutrement non, Devon ne se sent pas en sécurité à Londres… comme n’importe où ailleurs, en fait.

→ as-tu déjà frôlé la mort ? si oui, comment l'as-tu vécu ?
De mieux en mieux, dites donc ! Ouiiiiiiiii, bien sûr, Devon a de nombreuses fois frôlé la mort… il peut la frôler si souvent que, par moment, il lui arrive de se dire que la Mort elle-même s’avère être une très bonne copine à lui. Vous voyez le genre ? Tout dépendant de la circonstance, du comment il parvient à se ressortir la tête de ses merdiers, à chaque fois, comme un con, il ne peut s’empêcher de sourire à pleines dents et de se marrer comme une vraie grosse dinde… Tsé… S’écrier I'M ALIVE !! dans un monde qui se meurt à p’tit feu, sais pas pour vous, mais vous devez admettre que la donne est franchement ironique, non ? Donc bon, ouais, il a déjà frôlée la mort et sa belle conscience sait bien vivre avec ça X)

→ le mot « tuer », qu'est-ce que ça t'inspire ?
Cela lui inspire horreur et chef-d'œuvre. Tuer… c’est faire preuve de courage et de faiblesse. Un geste à la fois égoïste et empreint d’une dévotion inégalable à rien. Tuer, c’est là où repose le paroxysme des contradictions. Tuer… c’est si bien et à la fois si mal. Ce n’est qu’un outil, l’engrenage ultime qui peut rendre un homme à foison monstrueux et ou un tant soit peu éthéré. Tuer… c’est paradoxal. Voilà. Tuer, cela lui inspire un paradoxe…

→ y a-t-il une chose pour laquelle tu pourrais mourir ?
Devon serait prêt à mourir pour plusieurs choses… trop de choses même. Vous les dévoiler ? Ahem. Vous êtes dingues ? Dire ses petits secrets, ça serait comme qui dirait mettre à jour ses faiblesses et ça… il y en est tout simplement pas question !

→ quelle est la chose que tu as toujours rêvée de faire ?
Réponse simple et concise ; prendre des vacances… arrêter tout… oublier ne serait-ce que quelques instants le passé, le futur, le présent, les choses qu’il aurait dû faire, les choses qu’il aurait dû ne pas faire. Pour un moment à peine, qu’il soit long, ou encore immensément court, peu importe, pour une seule fois, juste une seule, Devon aimerait que tout s’arrête, ne se dilue dans la rigidité de l’éternel et que la balance de cet espace-temps ne cesse d’oppresser ce monde déjà suffisamment brisé.

→ quelle est la chose la plus folle que tu aies jamais faite ?
Aimer… vouloir mourir par amour… et finalement se rendre compte que ce geste n’aurait jamais été que de la pure folie…

DRAMA. LIES. TEARS.
Cheers to the teenage years!

❝ D’aussi loin que je puisse me souvenir, les infractions et les erreurs monumentales, j’ai toujours eue cette irréfutable capacité à pouvoir facilement les accumuler. Gamine, je me détestais déjà, tourmentant les adultes avec la morosité de mes sombres pensées…pensées suicidaires, que je ne me gênais pas d’affirmer haut et fort à qui pouvait bien m’entendre. Je n’avais que 9 ans et dès lors mon tempérament marginal propageait cette désastreuse réputation qui s’amarre tel boulet à ma cheville et que je trimbale inlassablement avec moi, depuis mon enfance. J’ai toujours été différente des autres, j’ai toujours été celle que l’on pointe du doigt avec mépris, celle que l’on dévisage avec aversion et dérision. Les gens me craignent, me cintrent au pied d’un mur contre lequel je n’ai nullement demandé à y être. Ce mur contre lequel j’y suis adossé depuis si longtemps, il me donne l’impression d’être un prisonnier arrivant à son jour fatidique… celui de la potence. On m’appréhende parce que je suis différente ? Soit, dans ma préadolescence, j’ai commencé à prendre vos incertitudes telles que vous souhaitiez qu’elles le soient. J’ai commencé à accumuler une jolie collection de crimes incorruptibles dans mon énorme dossier qui se transfère d’institution à institution. Si peu embarrassée, à même hilare, je me vante de mes conneries et espères toujours en concrétiser de nouvelles…

Toutefois, j’ignore encore que le prochain délit que je m’apprête à faire sera - en fait - la connerie qui bouleversera ma vie à part entière… ❞


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Étrange petit bout de femme. Il avait pourtant l’habitude de voir aller et revenir ces visages. Ces masques de marbres défraîchis, aussi fragiles que de la porcelaine et aussi diaphanes que le cristal. Il avait l’habitude de voir aller et revenir bien des visages... bien des masques. Il avait appris à en apprécier certains et s’obstiner à en détester quelques-uns. Nous pouvons choisir ses amis, mais n’aucunement choisir sa famille. C’était ce que sa tendre mère se tuait à lui répéter incessamment et fallait croire que cette morale apportait bien ses raisons d’être… « Devon, voici Carissa. » La principale concernée levait de peine ses grands yeux azurs sur la chaleureuse cacophonique qui l’emmurait, scrutant avec négligence l’hôte de cette somptueuse demeure qui désormais allait bientôt être la sienne, avant de finalement posément sonder les autres visages qui se calquait doucement devant son regard austère et inanimé. Pas l’ombre d’un sourire, pas l’ombre d’une seule expression faciale, les fins traits éthérés de ce visage de porcelaine semblaient être dilués dans la rigidité de l’éternel, bannissant ces deux pierres de saphir dans un vide abyssal et insondable. Elle dégageait une prestance déconcertante, un flegme quasi épique et une froideur d’esprit déstabilisante. Être si petite mais pourtant dégager une assurance aussi immensément percutante et écrasante. Devon déglutissait amèrement la bile qui lui remontait viscéralement à la bouche lorsque son regard céruléen croisait ces deux gouffres abyssaux qui auraient semblés littéralement vriller au travers de lui. Tous deux incrédules, ils se regardèrent longuement… se toisèrent avec austérité et voyant leur pommettes empourprées d'un rouge incandescent peu à peu s'atrophiés d'une lividité lactescente alors que le derme halé de leur visage suivait la transgression de cette fadeur effrayante. Le froid foudroyait systématiquement l’échine du jeune Robertson qui ne savait littéralement plus où se mettre pour oser enfin briser ce contact visuel le perturbant de manière si impossible qu’il s’en aurait très volontiers crevé les yeux. Mû par ce malaise soudain qu’il ne pouvait empêcher de le rendre vulnérable, Devon saluait la nouvelle recrue insolite d’un très vague coup de menton, avant de finalement se convaincre qu’il avait peut-être mieux affaire ailleurs et de tranquillement tourner les talons. Il était sur le point de quitter le hall d’entrée achalandé, lorsque, dans son dos, la douce voix de sa mère détonnait par-delà le brouhaha environnant : « Devon, chéri, les jumeaux et moi allons en ville. C’est le week-end des soldes au centre-commercial. Damien apporte Liam et Rosalie au jardin d’enfant. Milo a son entraînement de foot et Megan doit aller chez Madison pour terminer ses travaux déjà suffisamment retardés… »

« Je veillerai à ce que mademoiselle Carissa aie une visite complète de la maison et profiterai de l’occasion pour lui expliquer le bon fonctionnement des règles. Ça va. » Non, drastiquement, ça n’allait pas du tout. Cette nana lui faisait perdre tous ses moyens et c’était tout juste s’il parvenait à soutenir ce regard limite un peu assassin qu’elle se motivait d’afficher à chaque fichues fois où ils avaient le malheur de se regarder dans le blanc des yeux. Il ne l’aimait pas. Et apparemment elle non plus. C’était limpide. Ils transpiraient l’aversion et la haine. Justifié ou pas, entre les deux, ça ne collait juste et tout simplement pas…

..:: un quart d’heure plus tard ::..

« Alors voilà. Ici, c’est ta chambre, tu la partageras avec Megan. C’est une fille plutôt discrète et agréable à côtoyer. Elle ne te causera pas de problème si tu sais en faire de même. » Expliquait ainsi donc l’adolescent exécrable qui, sans aucun ménagement, laissait lourdement déchoir sur le sol étincelant de propreté, les quelques valises de sa nouvelle sœurette qui, tout aussi aimable que lui, franchissait le seuil de la chambre en prenant soin de bousculer sur son passage celui qui lui servait de guide. Transi par cette vague d’agacement qui le submergeait soudainement, la mâchoire de Devon se crispait amèrement, entendant de manière plus que limpide ses dents viscéralement grincer les unes sur les autres. Les dernières quarante-cinq minutes lui avait été tout simplement insupportables. Il avait beau essayer de contenir ses ardeurs, cette pouffiasse avait ce don inné de le pomper jusqu’à la moelle. « Bon. Tu connais les règles. T’es au courant d’à peu près tout ce que tu dois savoir. Des questions, avant que je ne te laisse tranquille, toi et tes poupées Voodoo ? »

« J’en aie qu’une seule, oui. » Affirmait ainsi le Diable réincarnée qui esquissait un sourire sournois de ses lèvres charnues et bondissait comme une fleur sur le moelleux matelas de son tout nouveau lit. « As-tu peur de mourir, Devon !? »

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❝ D’aussi loin que je puisse me souvenir, les infractions et les erreurs monumentales, j’ai toujours eue cette irréfutable capacité à pouvoir facilement les accumuler. Gamine, je me détestais déjà, tourmentant les adultes avec la morosité de mes sombres pensées…pensées suicidaires, que je ne me gênais pas d’affirmer haut et fort à qui pouvait bien m’entendre. Je n’avais que 9 ans et dès lors mon tempérament marginal propageait cette désastreuse réputation qui s’amarre tel boulet à ma cheville et que je trimbale inlassablement avec moi, depuis mon enfance. J’ai toujours été différente des autres, j’ai toujours été celle que l’on pointe du doigt avec mépris, celle que l’on dévisage avec aversion et dérision. Les gens me craignent, me cintrent au pied d’un mur contre lequel je n’ai nullement demandé à y être. Ce mur contre lequel j’y suis adossé depuis si longtemps, il me donne l’impression d’être un prisonnier arrivant à son jour fatidique… celui de la potence. On m’appréhende parce que je suis différente ? Soit, dans ma préadolescence, j’ai commencé à prendre vos incertitudes telles que vous souhaitiez qu’elles le soient. J’ai commencé à accumuler une jolie collection de crimes incorruptibles dans mon énorme dossier qui se transfère d’institution à institution. Si peu embarrassée, à même hilare, je me vante de mes conneries et espères toujours en concrétiser de nouvelles…

Toutefois, j’ignore encore que le prochain délit que je m’apprête à faire sera - en fait - la connerie qui bouleversera ma vie à part entière… ❞

Baaoonn. Par où commencer ? J’aime pas parler de moi, j’sais jamais quoi raconter sur mon cas que vous constaterez franchement désespéré et désespérant. Au début, je voulais m’annoncer sous mon nickname, soit Disturbed, mais avec les gens qui se sont ADORABLEMENT exclamée dans ma fichette, je crois que je n’aurais pas le choix de dire que mon petit nom bah c’est Daisy xD. J’ai 22 ans, toutes mes dents, j’ai même désormais le nombril sèche. Je suis, bah, présentement assise en indien sur mon lit, en train d’ébaucher ce pavé qui ne finit plus XD. Oui, j’ai un sens de l’humour assez naze et j’suis une pipelette soporifique. J’aime la vie, elle m’aime aussi, brefouille, c’est l’harmonie entre nous et entre la vie et moi repose l’une de mes plus grandes passions : L’ÉCRITURE ! (et Chris Hemsworth xD) ce qui peut justifier ma présence ici sur ce beeaauuuuuu forum que j’ai connue grâce à une pub sur TOB. Je suis une gentille bêbête qu’on sait apprivoiser avec le temps… ça peut être long ou court… c’est à vous d’en juger xD. MAIS IL FAUT SAVOIR QUE JE SUIS COMME DE LA MERDE ENCASTRÉE SOUS LA SEMELLE D’UNE CHAUSSURE : JE SUIS LÀ POUR RESTER, BABY !


Et je vous aimes, tous autant que vous êttteessss !!!